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Trou de la sécu : le patron de la Cour des Comptes s’impatiente
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scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Inscrit en 2014
La rémunération supplémentaire des pharmaciens ne va pas arranger les choses ! Nous, les malades, n'y sommes pour rien.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
bonjour scoobidoo
Tu as entièrement raison, il y a aussi les cures qui sont abusives, ou changer de médecins et refaire tous les examens (car ce sont pas SES prescriptions) qui ont été déjà fait .
clt
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Inscrit en 2014
Il ne faut pas oublier que la sécurité sociale ne se limite pas à l'assurance maladie, c'est :
- La branche maladie (maladie, maternité, invalidité, décès);
- La branche accidents du travail et maladies professionnelles ;
- La branche vieillesse et veuvage (retraite) ;
- La branche famille (dont handicap, logement...)
C'est aussi le budget des hôpitaux, le RSA, la CMU....
Dire que ce sera financé par les générations futures, ça a toujours été le cas, nous avons payé les retraites de nos parents et grands-parents.
Dans le temps, c'étaient les enfants qui s'occupaient de leurs parents, malades ou âgés, maintenant on demande à la société de le faire, il faut bien trouver l'argent quelque part, non ?
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Vaste débat. En 1975-1976, en tant que jeune journaliste, j'ai déjà été confrontée à ces questions pour les branches 1 et 2...
J'aurais dû être, en fait, enquêtrice pour la Sécurité Sociale et traquer toutes les fraudes dont elle est une victime, parfois plus ou moins consentante en ne se donnant pas suffisamment de moyens de la détecter rapidement...
Le premier chapitre à étudier c'est celui des cotisations non versées par certains employeurs dont des organismes d'Etat non ? On en parle parfois à mots couverts puis on passe à autre chose...
fadada
Bon conseiller
fadada
Inscrit en 2014
Bonjour
Le trou est tellement profond qu'il peut attendre encore
Bonne journée
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fadada
rickurz
Bon conseiller
rickurz
Inscrit en 2014
bah en même temps on soigne les trois quart de la planète gratuitement dans notre pays c'est cool je trouve
fadada
Bon conseiller
fadada
Inscrit en 2014
Bien dit rickurz
bonne soirée
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fadada
Utilisateur désinscrit
je me disais aussi....il n y a rien pour moi???ca me manquait!!!
mais ici,charlie ne peut pas s exprimer!!
james42
Bon conseiller
james42
Inscrit en 2013
bonsoir,
@cathy51
[contenu modéré par un administrateur]Voir la signature
La manière la plus efficace de vaincre la maladie, c'est de se débarrasser des médecins Paul Ferron (1926-2007) médecin, Humaniste, humoriste.
Utilisateur désinscrit
super james,et c est a nous que l on demande d arreter d etre agressives!!vous nous faites bien rire moi et mocouk,qui bien sur,lit aussi vos post!!mais pas grave,c estjulien qui va etre content!!!
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Julien
Bon conseiller
Julien
Inscrit en 2012
Le déficit du régime général de la Sécurité sociale en France s'aggraverait à 14,7 milliards d'euros en 2015 sans mesure nouvelle d'économies, avait indiqué fin septembre la Commission des comptes de la Sécurité sociale, ajoutant que l'objectif d'un retour à l'équilibre était repoussé au-delà de 2017.
Le retard pris dans la résorption du déficit de la Sécurité sociale est une "véritable anomalie" et l'augmentation des dépenses en partie financées par emprunt "n'est pas acceptable", a estimé jeudi le premier président de la Cour des Comptes, Didier Migaud. En répondant sur Europe 1 -à propos de son rapport annuel- à une question sur le nombre des recommandations de la cour réellement appliquées, Didier Migaud a estimé "de l'ordre de 70%" sont appliquées "mais il faut qu'on affine notre indicateur". "Et puis vous avez recommandation et recommandation", a-t-il nuancé. "Lorsqu'on demande par exemple de mettre fin au déficit de l'Assurance maladie ou de la Sécurité sociale, cela met un peu plus de temps. Ça c'est une véritable anomalie parce que ce sont des dépenses courantes qui sont financées pour partie par emprunt c'est-à-dire par les générations futures et ça, ça n'est pas acceptable", a-t-il affirmé.
Le déficit du régime général de la Sécurité sociale en France s'aggraverait à 14,7 milliards d'euros en 2015 sans mesure nouvelle d'économies, avait indiqué fin septembre la Commission des comptes de la Sécurité sociale, ajoutant que l'objectif d'un retour à l'équilibre était repoussé au-delà de 2017.
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