- Accueil
- Forums
- Forums généraux
- Revue de presse
- Plutôt mourir que de prendre des médicaments à vie ?
Plutôt mourir que de prendre des médicaments à vie ?
- 1 208 vues
- 1 soutien
- 62 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
Utilisateur désinscrit
Encore des apprioris. Je ne souffre pas, d'ailleurs j'ai même pas la fibro puisque je ne prends pas de médocs. Pourquoi se demander le "pourquoi les gens n'en prennent pas" ça amènerait à réfléchir et ça c'est fatiguant

Utilisateur désinscrit
Je ne crois pas avoir témoigné "'d'à prioris" et comme je n'ai aucune envie de polémùiquer... bonne journée mocouk. J'ai failli mourir à plusieurs reprises à cause d'erreurs médicales : mais oui ça existe bien qu'elles soient toujours soigneusement cachées.
Tu es aide-soignante et je sais parfaitement ce qui se passe dans "les hautes sphères" car j'ai travaillé longtemps en recherche.

Utilisateur désinscrit
Diabéqui tu n'es pas la seule à avoir commenté ce post et entre les médocs et les erreurs médicales il y a un grand monde

Utilisateur désinscrit
Et oui,mocouk,on le sait bien!tu n es pas malade,tu ne souffre pas,puisque tu ne prends aucun medoc!!
c est un grand n importe quoi,car chaque etre humain a une approche differente vis a vis de sa maladie!il y en a qui se font aider pas des medocs,et d autres,qui font un gros travail sur elles meme pour essayer de s en passer le plus possible!!
mais je ne pense pas que c etait la base de ce sujet,ni celle des erreurs medicales que j ai vu plus loin!
mais continuez a tirez a bout portant sur le milieu medical,car apparemment,vous aimez ca,et ca a l air d etre le plus important pour vous,que d essayer de vivre mieux!

Utilisateur désinscrit
C'est surtout que même si j'étais pour les médocs, je suis comme Gigi, je supporte rarement les molécules, et les médocs que je supporte n'ont pas d'efficacité sur mon organisme
Pour le reste Cathy t'as tout compris

Utilisateur désinscrit
J'ai beaucoup diminué les médocs grâce à ma volonté d'accepter d'autres thérapies et en prenant le temps de m'occuper de mon corps autrement. J'espère vraiment et je met tout en œuvre pour.J'apprend aussi à gerer mes douleurs sans médocs et pourtant j'en ai autant qu'avant. Mais c'est vrai qu'il faut le vouloir et le croire. Mais si j'etais obligé de prendre des médocs a vie, je le ferrai
El Gato
Bon conseiller
El Gato
Dernière activité le 24/01/2021 à 08:41
Inscrit en 2014
74 commentaires postés | 7 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Bonjour l'ambiance Je ne comprends pas toute cette agressivité Je pensais que chacun pouvais dire ses ressentis sans être "agressé" Etre malade n'est pas facile et certains n'ont personne à qui parlé alors là ils s'expriment et même si vous n'êtes pas d'accord il y a des manières de le dire Merci pour nous tous
Voir la signature
El Gato

Utilisateur désinscrit
Bonjour, je suis obligée de prendre les médicaments que mon médecin me prescrit déjà pour l'hypertention car je ne fais pas d'hypertension par rapport à mon hygiène de vie mais vu les dires des spécialistes qui me suivent ainsi que de mon médecin c'est les douleurs et la dépression qui me la provoque. Et pour les autres traitements que je prends jusqu'a présent je les supportes bien, Ensuite je comprends trés bien que certains ne peuvent pas supporter les médicaments et sont obligés de trouver une autre façon de se soigner. Quand à ce que tu dis EL Gato je suis d'accord avec, car si tu lis plus haut ce que j'ai écris c'est chacun son point de vue et je ne cherche pas à contrarier ce qui n'ont pas le même point de vue que moi mais juste à échanger et dialoguer.
Bonne journée à tous.

Utilisateur désinscrit
Tout à fait El Gato.
Mariep, volonté, optimisme et moral, donc tu y arriveras même si ça prend du temps. J'ai réussi, donc tu peux réussir je ne suis pas surhumaine

Utilisateur désinscrit
Je ne prends qu'un médicament et j'ai du mal à m'en rappeler. Mais c'est normal, mon cerveau est atteint. Perso, je refuse plusieurs médicaments pour UNE pathologie (en général). Là aussi, c'est normal, puisque je ne ressens aucune souffrance. Le "normal" est MA normalité.
Quant au Monsieur qui souffre d'un cancer en rémission à qui on demande moins d'égoïsme, de prendre conscience de la souffrance des AUTRES..."no comment".
Serena
Donnez votre avis
Enquête
Enquête
Articles à découvrir...

03/05/2025 | Actualités
Moringa et maladies chroniques, le super-aliment naturel qui peut apporter une différence

25/04/2025 | Conseils
Les secrets du journaling pour une meilleure qualité de vie avec une maladie chronique
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Léa.Blas
Animatrice de communautéBon conseiller
Léa.Blas
Animatrice de communauté
Dernière activité le 09/12/2024 à 08:12
Inscrit en 2013
411 commentaires postés | 9 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Une personne sur trois accepterait de vivre moins longtemps si cela lui permettait de ne pas avoir à prendre un traitement médical à vie, révèle une récente étude.
Quelques semaines de vie en moins contre une existence sans médicaments. C'est le choix qu'ont fait près d'un tiers des volontaires interrogés pour une étude parue lundi dans Circulation: Cardiovascular Quality and Outcomes, le journal de l'association américaine du cœur.
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco et de l'université de Caroline du Nord ont demandé à 1000 volontaires, tous âgés d'une cinquantaine d'années, de répondre à un questionnaire via internet. Parmi les questions qui étaient posées: «De combien de temps seriez-vous prêts à raccourcir votre vie si cela pouvait vous permettre de ne pas devoir prendre un traitement cardiaque permanent?». On les a également interrogés sur la somme d'argent qu'ils seraient prêts à débourser et sur le taux d'augmentation des risques de mortalité qu'ils seraient prêts à accepter pour éviter d'être contraints de prendre un traitement cardiaque à vie.
29 % préfèrent mourir plus tôt
Après analyse des réponses, les chercheurs ont constaté que 8 % des participants accepteraient de renoncer à deux années de leur vie au minimum si cela pouvait leur éviter de prendre des pilules chaque jour du reste de leur existence, quand 21 % affirment qu'ils seraient d'accord pour troquer d'une semaine à une année entière. Près de 70 % des personnes interrogées refuseraient de mourir plus précipitamment même si cela leur assurait une vie sans médicaments.
Concernant l'augmentation des risques de mortalité encourus s'ils ne prenaient pas leurs traitements: 13 % des participants se déclarent prêts à accepter des risques minimes pour éviter les pilules au quotidien et 9 % toléreraient jusqu'à 10 % de risques en plus. Près de 62 % des participants déclarent en revanche ne pas vouloir prendre le risque d'une mort immédiate, peu importe les conditions.
Enfin, 21 % se disent prêts à payer 1000 dollars (environ 870 euros) ou plus pour éviter les médicaments à vie quand 43 % déclarent qu'ils ne paieraient rien.
La rentabilité des médicaments
«Nous avons voulu mesurer à quel point le fait de devoir prendre un traitement au quotidien interfère dans la qualité de vie des patients», explique Robert Hutchins, auteur de l'étude et professeur de médecine à l'université de Californie, «Être contraint d'avaler une pilule chaque jour détériore le quotidien d'un individu au point que certains préféreraient mourir plus tôt si cela leur permettait d'en être dispensés».
Les chercheurs précisent néanmoins que le questionnaire était hypothétique pour les personnes interrogées. Bien qu'il ait été stipulé aux participants qu'ils n'auraient rien à débourser pour le traitement cardiaque et qu'il fallait ignorer la probable existence d'effets secondaires, les chercheurs ne sont pas certains que ces critères n'aient pas affecté leurs réponses. «Le fait que nous n'ayons pas noté de grandes différences entre les résultats nous amène à penser que ce facteur n'a pas énormément faussé les réponses», précise l'auteur de l'étude.
«Si même les contraintes les plus minimes ayant trait à la prise d'un traitement contribuent à détériorer la qualité de la vie des gens, cela soulève la question de la rentabilité des médicaments à l'échelle d'une population», ajoute le Pr Hutchins, «Je pense que nos constatations sont à prendre en compte dans l'élaboration des futures politiques publiques de prévention, particulièrement concernant l'efficacité et surtout l'observance des traitements, qui, quand elle n'est pas respectée peut coûter cher».
Source : LeFigaro