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Loi santé : un amendement vise à assouplir la publicité pour l'alcool
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maritima
Bon conseiller
maritima
Dernière activité le 31/10/2024 à 22:28
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Tu as 100 fois raison@lailaine sauf que .....l'arrêté du 31/8/2010 stipule que le fait de ne pas déclarer son diabète à la Préfecture et de ne pas se soumettre au contrôle médical de l'aptitude à la conduite invalide le Permis. Donc, on serait, en droit routier, plus dangereux que celui qui abuse de l'alcool car .... aucune déclaration en Préfecture n' est demandée au consommateur régulier de produits alcoolisés. Je sais bien que là, je joue la provoc' mais aucune loi ou interdiction (à mon avis) ne règlera sur le fond le problème des addictions ( alcool, cannabis et ....j'en passe!) . Aucune pub ne se fait sur le cannabis et pourtant ......le nombre de conducteurs sous cannabis impactés dans des accidents ne cessent de progresser. J'ajouterai que les bons modèles familiaux ne font plus à présent les enfants exemplaires dans ce domaine.Savais-tu @lailaine que la sacro-sainte obligation pour les éthyliques qui désirent se soigner de ne plus boire une goutte d'alcool s'assouplit dans les hauts lieux médicaux dédiés? on aide maintenant les personnes à "gérer" leur consommation ( je n'ai pas les chiffres sur la réussite du procédé mais il me semble bioloqiquement impossible d'aller très loin ainsi)Tout ça pour dire qu un assouplissement de la loi Evin va dans le sens du vent (si je puis dire)et ......ça ne veut pas dire que j'approuve!!!!
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
lilas blanc
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lilas blanc
Dernière activité le 11/01/2022 à 08:38
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@MaritimaJe suis entièrement d'accord avec toi ,pourquoi Diaboliser particulièrement l'alccol ,c'est certain il fait des dégats surtout chez nos Jeunes mais celà peut-ètre un petit plaisir de la vie ,consommer avec modèration.
En tant que Diabétique ,je suis écoeurée par toutes les publicités que l'on nous fait ingurgiter ,les produits sucrés ,les mac do qui sont le temple de la Malbouffe ,ils préparent les futurs Obèses et Diabétiques ..
Je pense que nous sommes Acteur de notre Vie ,à nous de faire les bons choix.
Bon Dimanche à tous.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Et déjà, avant même que le débat soit ouvert, des médecins s'en inquiètent. Des alcoologues ont écrit au président de la République pour protester contre les effets d'un tel assouplissement.
«Si cette disposition était votée, c'est l'ensemble de la population, et notamment les jeunes, qui serait exposée à une promotion sans limite en faveur de la consommation d'alcool», écrivent l'Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie (ANPAA), la Fédération française d'alcoologie (FFA), la Société française d'alcoologie (SFA) et la Société française de santé publique (SFSP) dans leur lettre rendue publique lundi.
«Il serait paradoxal et dommageable qu'une loi ayant pour objectif d'améliorer la prévention ait pour conséquence une plus grande facilité de promouvoir l'alcool qui est directement responsable de 49.000 morts par an», ajoutent les signataires de la lettre. Ils demandent à François Hollande de ne pas remettre en cause la loi Evin, qui permet depuis 1991 à la France de disposer «d'un cadre équilibré qui permet à la fois l'information sur les boissons alcooliques et un encadrement pour la publicité».
Les quatre organismes signataires contestent l'amendement du député PS Denys Robiliard, qui définit la publicité pour l'alcool comme «un acte de promotion effectué en faveur d'un produit ou service, relevant de l'activité d'une personne ayant un intérêt à la promotion dudit produit ou service et susceptible d'être perçu comme un acte de promotion par un consommateur d'attention moyenne».
«Cette définition va permettre la communication promotionnelle, notamment lorsqu'elle sera faite par des VIP car il va être très difficile de prouver l'existence d'un lien d'intérêt entre la marque et le VIP», relève le Dr Alain Rigaud, président de l'ANPAA, s'interrogeant également sur la notion de «consommateur d'attention moyenne» pour évaluer s'il s'agit ou non d'une publicité.
Ce que dit la loi Evin
La loi Évin, adoptée le 10 janvier 1991, relative à la lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme, interdit notamment :
- la publicité pour des boissons alcoolisées ou marques d'alcool dans la presse pour la jeunesse et la diffusion de messages publicitaires à la radio le mercredi, et les autres jours entre 17 heures et 24 heures
- la publicité à la télévision et au cinéma pour des boissons alcoolisées ou marques d'alcool
- la distribution aux mineurs de documents ou objets nommant, représentant ou vantant les mérites d'une boisson alcoolisée
- la vente, la distribution et l'introduction de boissons alcoolisées dans tous les établissements d'activités physiques et sportives (une autorisation d'ouverture de buvette lors d'une manifestation sportive peut toutefois être délivrée sur demande).
En outre, elle impose aux affichages publicitaires d'être accompagnés d'un message sanitaire sur l'abus d'alcool («L'abus d'alcool peut être dangereux»).
LeParisien.fr