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Sclérose en plaques : pourquoi certaines thérapies ne fonctionnent pas
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Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
@MFrance
Bonjour
jaimerais savoir cest vous qui prenez le Phapyra est-ce que sa vous a fait vraiment du bien
car moi jai déjà essayé et je perdais l'équilibre encore plus
jaimerais connaitre tous les bienfaits que ca vous a fait
Merci de bien vouloir me répondre
amigo13
amigo13
Inscrit en 2014
bonjour
le fampyra n'a rien donné pour moi non plus.... peut-être faut-il l'associer à un autre traitement ?Pour l'instant seul le repos obligatoire m'aide un peu.
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amigo13
dan26576
Bon conseiller
dan26576
Inscrit en 2015
Bonjour, Solumedrol est de la cortisone qu'on m'injecte dans la veine d'un des deux bras, à l'hôpital pendant 5 jours, et ça me donne une énergie de folie !
Le professeur Pelletier me fait prendre Solumedrol depuis de nombreuses années, et j'en suis heureux, et je suis surpris qu'on ne t'est pas parlé de la cure de Solumedrol ? Car pour les formes primaire progressive il n'y a que ça.
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xavier666
chris08110
chris08110
Inscrit en 2013
@MFrance
tatine10
tatine10
Inscrit en 2015
@dan26576
Bonjour
Je vois que tu as une SEP progressive as tu un autre traitement à part le sulumedrol
Merci de ta réponse
dan26576
Bon conseiller
dan26576
Inscrit en 2015
À ce jour il n'y a que Solumdrol pour la forme primaire progressive, j'avais essayé Fampyra, mais ce produit de merde m'a déclenché une crise d’épilepsie, donc tout les jours je prend un médicament pour ne pas me retrouver par terre à cause de l'épilepsie !
À part ça tout les jours je fais des exercices physique pour me sentir le mieux possible
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xavier666
dan26576
Bon conseiller
dan26576
Inscrit en 2015
AVONEX ? Si le professeur Pelletier ne m'en a pas parlé c'est que ça ne doit pas correspondre à la sep primaire progressive. ?
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xavier666
dan26576
Bon conseiller
dan26576
Inscrit en 2015
Sur le net j'ai regardé, AVONEX est fait pour les formes de sep par poussées, ce qui n'est pas du tout le cas des sep primaire progressive !
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xavier666
niquen
Bon conseiller
niquen
Inscrit en 2013
Mon neurologue ne donnée ce médicament car il ne savait pas quoi ne donner.
Nathali57
Bon conseiller
Nathali57
Inscrit en 2016
@niquen
?? il ne savait pas quoi te donner?
je ne pense pas être en SEP progressive mais il y a des discussions intéressantes
Recherche OCRELIZUMAB sur le forum
ou bien
https://membre.carenity.comhttps://membre.carenity.comhttps://www.carenity.com/forum/autres-sujets/les-traitements-de-la-sclerose-en-plaques/ocrelizumab-36045?page=2
on parle Biotine en + de l' OCRELIZUMAB
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Utilisateur désinscrit
Il n'existe pas de médicaments pour guérir de la sclérose en plaques, mais des traitements agissent sur le système immunitaire pour prévenir les poussées inflammatoires. Des chercheurs ont découvert pourquoi ces derniers pouvaient manquer d'efficacité dans certains cas.
La sclérose en plaques fait partie de la famille des maladies auto-immunes, lorsque le système immunitaire censé protéger l'organisme d’agressions extérieures se retourne contre ses propres cellules et les attaque. Dans le cas de la sclérose en plaques, ce sont les gaines de myéline, cette membrane biologique qui entoure les axones (fibres nerveuses) pour les protéger dans le système nerveux central, qui sont attaquées.
Ce phénomène entraîne des lésions dans le système nerveux, ce qui perturbe ou empêche la circulation de l’information et provoque des troubles moteurs, de la sensibilité, et des troubles de l'équilibre. Les traitements disponibles à ce jour ne permettent pas de guérir, mais de prévenir les poussées inflammatoires en modulant l’activité du système immunitaire et notamment des lymphocytes T.
Des chercheurs de l'Université technique de Munich (TUM) ont récemment découvert pourquoi ces cellules qui jouent un grand rôle dans la réponse immunitaire de l'organisme face aux agents pathogènes peuvent elles-mêmes devenir pathogènes et être associées à la survenue de la sclérose en plaques. Dans leur étude, ils ont plus précisément mis à jour le facteur décisif qui explique pourquoi ces dernières se retournent contre l'organisme.
Ces cellules T deviendraient nocives lorsqu'elles entrent en contact avec une substance, l'interleukine 6 (IL-6) sécrétée par d'autres cellules du système immunitaire, les cellules dendritiques. Ce sont ces dernières qui dirigent les lymphocytes T vers les agents pathogènes à détruire. Chez les malades atteints de sclérose en plaques, ces cellules dendritiques signalent aux lymphocytes T que la myéline est la substance cible qu'il faut détruire en envoyant cette fameuse substance IL-6.
Une piste pour d'autres maladies auto-immunes?
Celle-ci est sécrétée presque en même temps que d'autres signaux, ce qui explique pourquoi les cellules T deviennent très agressives. Un phénomène surnommé signalisation "en grappe". Si les chercheurs menant des travaux pour élaborer des traitements pour les diverses maladies auto-immunes savent qu'il existe un lien entre l'IL-6 et les cellules T pathogènes, ils ne connaissaient pas cette voie de signalisation. Or, cette découverte signifie que les traitements actuels qui visent à bloquer le lien entre l'IL-6 et les lymphocytes T ne pouvaient pas s'avérer à 100% efficaces.
"Nos résultats peuvent expliquer pourquoi certaines thérapies réussissent et d'autres non, expliquent les chercheurs. Les différents médicaments bloquent souvent une seule méthode de signalisation. Si la transmission par l'IL-6 est empêchée, la signalisation en grappe peut encore être possible".
Leurs travaux peuvent non seulement permettre d'améliorer l'efficacité des traitements contre la sclérose en plaques, mais aussi de ceux contre la polyarthrite rhumatoïde, une maladie des articulations qui se manifeste par une inflammation persistante également causée par un dérèglement du système immunitaire.
Comme pour les personnes atteintes de sclérose en plaques, les malades peuvent uniquement bénéficier de médicaments afin de soulager les douleurs inflammatoires, et d'un traitement de fond pour réduire la réponse immunitaire locale responsable de l’inflammation dans le but de contrôler l’évolution de la maladie à long terme.
Source : http://www.santemagazine.fr/