Abus des psychiatres et des médecins généraliste

Bonjour @Patientexperimente,

Je vous remercie pour l'ouverture de ce sujet.

J'invite quelques membres à participer : @Del7972, @vivi31, @ChoupetteS, @prunelle006, @Kalima92, @Hindou79, @Sarroura, @nvallee1, @Nacelia, @Lola24, @Billie, @chrissevemele.

Avez-vous fait face à une situation similaire ? Comment vous en êtes-vous sorti ?

Belle journée,

Berthe de l'équipe Carenity.

Bonjour @Patientexperimente j’ai fais une dépression sévère qui a duré 6 ans!!! J’ai pris des neuroleptiques pendant 4 ans et il est vrai que l’on est anesthésié !!! Plus de sentiments plus de réactions à rien, plus de conversation !!!! Mais sa ma au moins permis de ne plus penser et fini les crises d’angoisse massive !!!! Antidépresseur, anxiolytiques et tout et tout!!!! J’ai arrêter mon neuroleptiques et les anxiolytiques et je ne prends plus que mon antidépresseur !!!! Et je revis!!! Je réfléchis, je réagis , je parle, je rit !!!! Dieu merci❤️Je pense que quand même quand on est en détresse psychiques tout c médicaments aide à stabiliser c sur!!!! Mais il vaut mieux être stable que suicidaire !! C mon avis personnel !!!!

Nacella, je veux juste te dire que tu as raison. Moi , à l époque ou j aurait dû être soignée pour ma dépression, mon médecin généraliste m’a dit que j étais trop jeune pour prendre ce genre de médicaments . Du coup j’ai du vivre avec cette dépression. J’ai tenu 4 ans et j’ai fait une tentative de suicide . Ça été une tentative car ça n à pas marché puisque uje suis encore là. Je suis un suicidant . C étais une pulsion suicidaire , , rien n avais éte prévu. ( mes nerfs ont lâché) . Tout ça pour dire que tu as raison, il accepte d être soignée quand on en a vraiment besoin. ( à titre indicatif, certains effets secondaires rares des neuroleptiques sont des tentatives de suicide et ça c’est grave ! )

@Patientexperimente accepte d'être soignée mais surtout pas par n'importe qui, il faut être très prudente, il y a des psy épouvantables.

@Patientexperimente As-tu fait l'effort de changer de médecin et d'en chercher un bon ? c'est une démarche très dure mais il faut la faire si tu veux t'en sortir. J'ai une amie qui a fait une tentative de suicide plutôt que changer de psy, je trouve çà dramatique.

@Nacelia Quand on est en détresse suicidaire il vaut mieux prendre des médicaments mais pas n'importe lesquels et pas prescrits par n'importe qui.

@Patientexperimente Les psychiatres ignorent les effets secondaires. Moi, j'en ai eu de redoutables pendant 10 ans (douleurs et fatigue intense), ettj'en parlais à mon psychiatre mais çà ne l'a jamais intèressé. Jai fini par lire la notice et comprendre d'où venaient mes troubles. J"ai arrêté ce médicament de ma propre initiative, j'ai 20 ans de moins et tout va bien, depuis je me méfie terriblement des psy.

Bonjour @Patientexperimente ,

Tout à fait d'accord. Après avoir consulté un psy pour essayer de comprendre mes problèmes (en grande partie déséquilibre alimentaire, maintenant je crois que ces problèmes étaient liés à trop de solitude) j'ai vécu encore plus mal pendant plusieurs années à cause des neuroleptiques prescrits, abusivement, par ce psychiatre, puis par d'autres psys qui considèrent, en effet que si on m'a prescrit une fois des neuroleptiques je devrai en prendre toute ma vie ! alors que cette première prescription n'était absolument pas nécessaire . Le premier psy consulté aurait pu me conseiller d'autres solutions: la psychologie par exemple et en complément si nécessaire et avec précautions, un antidépresseur, mais dans mon cas je suis convaincue qu'aucun médicament n'était nécessaire.

Les médecines alternatives sont certainement un moyen moins dangereux mais il faut pouvoir trouver la bonne adresse..

Je ne décrirai pas le parcours compliqué, très perturbant et dont je souffre encore, 30 ans plus tard.J'ai arrêté deux fois le traitement neuroleptique et malgré le sevrage, l'arrêt a été suivi de troubles traumatisants que je n'avais jamais éprouvés avant ce traitement. Après cette expérience regrettable, je ne conseillerai à personne de consulter un psychiatre !

Les psys en cause se sont contentés de prescrire sans essayer de comprendre. Ils ne se sont jamais intéressés à mon passé, au bien fondé de la première prescription. Diagnostics bâclés et trop de souffrance à cause de ce traitement poison me laissent le souvenir de médecins parjures au serment d’Hippocrate

Je connais des cas de personnes dont les vies sont ou ont été, à mon avis, complètement détruites par des prescriptions de neuroleptiques abusives..

  Un état inflammatoire ou un dysfonctionnement de la thyroïde peuvent être à l’origine de certaines dépressions. J’ai eu la chance de lire un article à ce sujet, revue PLS Mars 2019.Y est cité le cas d’un patient diagnostiqué schizophrène. Mais en réalité, il souffrait d’une carence en vitamine B12.

Merci à @Patientexperimente . Je vous souhaite de tenir bon ( souhaits de bonheur aussi) . Merci pour votre témoignage

Bonjour, merci beaucoup votre témoignage, tellement peu de personnes arrivent à se sortir de l'emprise des neuroleptiques, votre message me donne beaucoup d'espoir, cela fait plus de 5 ans que j'en prends également, et la communication avec mon psychiatre et le besoin de faire un sevrage étaient très complexe, à l'époque ce poison m'a été prescrit suite à une dépression assez intense mais avec un contexte porteur de cet état, mais malheureusement personne aujourd'hui n'a le droit d'être trop mélancolique, ou d'être mal, il faut rapidement entrer ds un case, au début je n'ai pas voulu lire la notice car ça fait très très peur, et étant à l'époque sous benzo et AD sans succès, et n'ayant vu avant ça que mon message traitant, j'ai vu un psy qui m'a prescrit cette fameuse quetiapine pour me sevrer des autres traitements, au début ce médoc m'a fait dormir 15h d'affiles et je me sentais beaucoup moins triste puisque je ne ressentais plus grande chose mais la belle affaire, au début je crois que ça me convenait bien comme ça, et puis en voyant ma personnalité changée et pas mal de questions sur le traitement, je n'ai plus été voir mon psy car cela tournait toujours autour d'une dose de plus et les discussions étaient à sens unique, je suis restée comme ça, en continuant à avalé ces médocs, ne trouvant jamais Le moment propice pour arrêter, je suis aujourd'hui confrontée à la pénurie qui est au passage une honte ! Et j'ai commencé donc un sevrage difficile, comment avez-vous diminuer vos doses, est-ce que votre sevrage a été difficile ? Je me pose aussi beaucoup de questions sur les séquelles à long terme d'avoir pris ce genre de médicament plusieurs années, merci beaucoup de me donner de l'espoir