Le contact avec la Nature et l'hortithérapie

@Natur' , effectivement, jardin et compostage. Mais, je n'ai pas vraiment la main verte. Si ça veut pousser = tant mieux et si rien ne prends = ce n'est pas ça qui me gâchera ma journée. J'étais loin de me douter que des bulbes pouvaient vivre aussi lgtps. Donc, dès que possible, je vais faire en sorte de les planter, elles m'ont prouvé qu'elles en avaient envie.

@Daphnae Merci pour eux !

Faites-nous part régulièrement de vos aventures au jardin ...

A bientôt.

Serge

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@Epéedargent Oui, j'en ai déjà entendu parlé de cette funeste histoire ... durant les 100 jours, non ? Mais il est aussi possible que ce soit une sorte de légende pour éduquer les foules et prévenir contre cette plante extrêmement toxique qu'est le laurier-rose. Alors grande méfiance avec cet arbuste ...

Une fois de plus, la Nature plus forte que ... Napoléon lui-même ! Après le Général Hiver, le laurier-rose ... pauvre Empereur, pourtant lui qui paraissait invincible à ses ennemis, défait par la Nature à nouveau. Décidément, il avait trouvé son maître ...

Bon et vous, avec cette laurière/laurier-rose auriez-vous trouvé votre maître également ? Dans un épisode précédent vous aviez déjà du mal avec un Sumac vinaigrier ...

A vous lire.

Serge

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@Epéedargent Bonsoir !

En ce qui concerne la multiplication de vos laurier-roses, vous pouvez essayer la technique du marcottage. C'est à dire que vous choisissez certaines de vos branches les plus basses et suffisamment longues pour les replanter en terre 1 mètre plus loin.  Ces longues branches souples, que vous aurez effeuillées à l'endroit de leur mise en terre, vont prendre racines là où vous les avez enterrées (dans un trou de 20cm profondeur dans lequel vous aurez mis du compost mûr ou du terreau, puis que vous recouvrirez de terre après y avoir placé la branche sans la couper pour la séparer de la plante mère), en faisant des racines au lieu de faire des feuilles. Le reste de la branche devra être tuteurée à la verticale en aérien pour maintenir l'ensemble. Dans le fond du trou, avant de le reboucher et après y avoir placer votre branche, vous devrez ficher en terre un cavalier en métal à cheval sur la branche pour la maintenir au fond  du trou de plantation, afin quelle prenne racine sans tenter de ressortir en reprenant sa place initiale de branche aérienne. Arrosez abondamment, mais sans noyer, puis payez Deux années après ce marcottage, alors que les racines se seront bien développées, vous pourrez couper cette branche que vous aurez planté, pour la désolidariser de la plante mère. Ainsi pour pouvez coloniser et faire se reproduire vos laurier-roses de place en place, petit à petit. Si vous voulez planter à des distances plus importantes, alors préférez le bouturage, à réaliser en mars/avril. Prenez un jeune rameau de 20 cm de longueur comportant au moins 3 noeuds. Coupez-le à proximité d'un oeil, d'une coupe franche, propre et en biais avec une bonne lame bien aiguisée. Couper proprement toutes les feuilles à l'exception des 2 ou 3 feuilles du sommet. Puis placer plusieurs de ces boutures dans une même bouteille remplie d'eau et maintenez l'ensemble avec suffisamment d'eau près d'une bonne source de lumière naturelle, sans exposition directe au soleil ni au vent, pendant plusieurs semaines. Quand des racines se seront bien développées, vous pourrez alors planter vos boutures en pleine terre, en amendant comme il faut votre trou de plantation et en arrosant copieusement. Puis payez autour de votre jeune plant, que vous aurez tuteuré.

Voilà, c'est simple. Essayez, soyez patient, ça devrait bien se passer.

Serge

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@Epéedargent Bonjour !

... mais par amour de la chose. L'apprentissage est toujours possible, d'où que l'on soit et quelque soit son milieu. Heureusement que rien n'est définitivement déterminé, que l'on puisse orienter sa vie comme on le désire. Même si cela demande de faire des choix et parfois de sacrifice, c('est toujours possible. Main tenant la Nature, c'est pas compliqué, surtout si on l'apprécie.

Vous savez aujourd'hui, il y a beaucoup de jeunes en ville, et notamment à Paris, qui s'intéressent à l'agriculture et qui produisent en pleine ville. D'ailleurs, je pense que le vrai changement de mentalité concernant notre agriculture, viendra de la jeune génération issue des villes, et non de la campagne. Car ces jeunes ne sont pas conditionnés par ce qu'on fait et appris les générations précédentes de leurs parents. Ils sont vierges de toutes influences provenant des industriels de l'agroalimentaire, des producteurs de produits phytosanitaires et des semenciers, et même ont des points de vues tout à fait inverses et tendent à un avenir plus respectueux de la Nature et de l'humain. Leurs modèles sont l'avenir de notre planète ...

Pas la peine d'être né les pieds dans la bouse pour comprendre qu'il faut changer de modèle de production agricole, peut-être même qu'il vaut mieux être né en ville ...

Serge

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@Natur' bonjour à vous !

... et oui, toujours plus de profits ! Sans se remettre en question ... c'est la course à l'échalote.

A propos des énergies alternatives, j'ai découvert il y a peu de temps de nouvelles génératrices d'électricité animées par la force des vagues sur le rivage ... très efficaces, d'une technologie très simple, et basée sur une ressource inépuisable. Toutes les communes du littorale devraient en être équipées ... Mais bon, il y a le lobby du tout nucléaire qui veille au grain ...

Ce matin certaines de mes plantations, en intérieur, de plantes grasses se sont misent à faire des fleurs. Sympa !

Belle et bonne journée à vous tous !

Serge