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đ°ïž AnnĂ©es dâattente avant le diagnostic : trop de temps perdu ?
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pomme123
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pomme123
DerniÚre activité le 15/10/2025 à 07:57
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Le diabĂšte arrive trĂšs lentement Ă bas bruit ,et fait des dĂ©gĂąts l infection ,les yeux ,le cĆur,les reins etc, j ai du traĂźner pendant des annĂ©es j Ă©tais fatiguĂ©e câ Ă©tait le travail, les bronchite câĂ©tait l Ìhiver jâĂ©tais grosse on mâĂ fait maigrir. On ne traitait pas la vraie cause
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pomme123
GérardC
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GérardC
DerniÚre activité le 15/10/2025 à 09:58
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Bonjour,
9 ans, pour diagnostiquer la Fibromyalgie.
Ce qui alimente l'errance, et pas seulement pour cette pathologie :
- la difficulté à trouver un spécialiste
- le délai pour avoir une consultation, quand on a trouvé le spécialiste
- les pathologies "invisibles", non révélées par un signe extérieur, ni une analyse biologique, ni l'imagerie médicale
- des pathologies orphelines (sans traitement) et idiopathiques ( sans cause identifiée)
- la briÚveté de certaines consultations
- les similitudes de symptĂŽmes entre plusieurs pathologies
- la tendance française à se focaliser sur un symptÎme au détriment d'une approche globale
- la résignation de certains patients
Ce qui peut réduire l'errance médicale :
Plus de médecins / une approche globale / une implication personnelle de la part des patients pour faciliter le travail des médecins (noter les symptÎmes, préparer les consultations, suivre les prescriptions) / une curiosité de la part des patients.
Nous ne sommes pas des symptĂŽmes, nous ne sommes pas des pathologies, nous sommes des ĂȘtres humains ayant besoin d'aide et d'attention, et pour qui le temps perdu, ce sont des risques et des souffrances en plus.
Coco1811
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Coco1811
DerniÚre activité le 15/10/2025 à 10:48
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Autre maladie : Dystonie
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Bonjour, dans mon cas c'est un peu particulier j'ai de suite Ă©tĂ© prise en charge Ă©tant bĂ©bĂ© (naissance prĂ©maturĂ©e 6 mois 1/2), j'ai Ă©tĂ© suivie de prĂšs par le service de nĂ©onatologie et de neurochirurgie pĂ©diatrique, au total j'ai passĂ© les huit premiers mois de ma vie Ă l'hĂŽpital (quand le neurochirurgien pensait que la bactĂ©rie Ă©tait Ă©teinte celle-ci se rĂ©veillait ce qui a nĂ©cessitĂ© huit externalisations et changements de valve (au dĂ©part elle n'Ă©tait pas implantĂ©e dans le pĂ©ritoine, elle Ă©tait externe pour pouvoir observer l'Ă©volution de l'infection dans le LCR. AprĂšs ce long Ă©pisode d'hospitalisation plusieurs aller-retour ont Ă©tĂ© faits jusqu'Ă mes deux ans. Ensuite j'ai Ă©tĂ© tranquille jusqu'Ă mes cinq ans cette fois-ci la problĂšmatique rencontrer Ă©tait divers dysfonctionnements de valve ventriculo-pĂ©ritonĂ©ale. De mes 5ans Ă mes 16 ans j'ai Ă©tĂ© tranquille, juste une visite de contrĂŽle annuelle. Depuis 2018, les choses se sont compliquĂ©es au dĂ©part on m'a dit ce sont des cĂ©phalĂ©es de tension ou des migraines jusqu'Ă ce que le neurochirurgien se rende compte qu'il y avait un problĂšme avec la dĂ©rivation ventriculo-pĂ©ritonĂ©ale, les premiers symptĂŽmes sont apparus en mars 2018 (cĂ©phalĂ©es, vomissements, fatigue, malaises, difficultĂ© Ă tenir debout, hypersomnie, prĂ©sence d'hypertension crĂąnienne...), aprĂšs avoir rĂ©alisĂ© des examens en urgence il s'est avĂ©rĂ© que la valve dysfonctionnait malgrĂ© le changement des symptĂŽmes Ă©taient encore prĂ©sents (cĂ©phalĂ©es, fatigue, nausĂ©es et parfois vomissement, hypertension crĂąnienne) plusieurs rĂ©glages ont Ă©tĂ© faits mais n'ont pas eu d'effets bĂ©nĂ©fiques. En juin 2018, je vais chez ma tante effectuer un stage, je me cogne la tĂȘte sur le haut de la tĂȘte de lit, au dĂ©part je pense que cet incident n'aura pas d'impact sur le dispositif de valve. Le lendemain en milieu/ fin d'aprĂšs-midi je me sens pas normal "je suis fatiguĂ©e", "je chute pour aller chercher quelque chose dans la cuisine sans gravitĂ©" je me dit ce n'est pas grave. Le soir vient, ma tante doit aller rĂ©cupĂ©rer un de ses fils Ă son cours de musique je l'accompagne, sur le trajet ça va Ă peu prĂšs. En arrivant sur les lieux du cours je me mets Ă vomir en jet. J'arrive chez ma tante je recommence, je me dis toujours que ce doit ĂȘtre une migraine. Je dis Ă ma tante ne prĂ©vient pas mes parents de suite on va voir si la mĂȘme situation se reproduit. Le lendemain la mĂȘme scĂšne se reproduit ma tante dĂ©cide tout de mĂȘme d'en informer ma mĂšre qui est Ă ce moment lĂ Ă plus de 400 km. Ma mĂšre lui dit : "je connais bien les symptĂŽmes ce n'est pas normal je pense qu'il y a un problĂšme avec la valve". Ma tante et mon oncle m'emmĂšne au CHU de Dijon, les mĂ©decins ne connaissent pas cette pathologie, je suis pas en forme je continue de vomir (cette fois de la bile). Ma tante explique que je suis atteinte d'une hydrocĂ©phalie. J'indique au mĂ©decin ĂȘtre suivie par le service de neurochirurgie au sein de l'hĂŽpital neurologique de Bron. Je dis Ă ma tante regarde dans le carnet de santĂ© il y a une carte avec le numĂ©ro du service dans lequel je suis suivie, le nom du neurochirurgien qui me suit avec la rĂ©fĂ©rence du modĂšle de valve implantĂ©e. Le mĂ©decin appelle le neurochirurgien qui me suit et lui explique la situation. Le neurochirurgien lui dit qu'il y a certainement un dysfonctionnement de valve et qu'il est nĂ©cessaire de me faire passer une irm cĂ©rĂ©brale et de lui communiquer les rĂ©sultats le plus rapidement possible. Lorsque le neurochirurgien reçoit les imageries il comprend tout de suite que la dĂ©rivation ventriculo-pĂ©ritonĂ©ale est cassĂ©e. Il demande que je sois transfĂ©rer dans la soirĂ©e Ă Lyon au sein de l'hĂŽpital neurologique, il suspecte qu'en plus que le matĂ©riel soit cassĂ© je sois en hypertension intracrĂąnienne. On lui rĂ©pond : "Nous ne pouvons pas transfĂ©rer votre patiente ce soir nous n'avons pas trouvĂ© d'ambulance. Nous organisons son transfert demain dans la matinĂ©e. C'est le transfert le plus dĂ©sagrĂ©able que j'ai vĂ©cu : les ambulanciers me disent " Ne vomissez pas trop nous avons que trois haricots". Ensuite ils vont s'arrĂȘter sur une aire d'autoroute pour pique-niquer: pendant ce temps je continue de vomir de la bile et d'avoir mal. J'arrive enfin au sein de l'hĂŽpital de Bron dans un triste Ă©tat : je suis somnolente, je crie de douleurs... Les internes et neurochirurgiens se relaient pour contrĂŽler mon Ă©tat en attendant que le bloc opĂ©ratoire de nombreux aller venue sont faits. Mes parents arrivent, des internes viennent voir mes parents en indiquant que mon Ă©tat n'est pas rassurant et qu'ils ne peuvent pas attendre demain pour m'opĂ©rer et que je vais partir dans moins d'une heure au bloc opĂ©ratoire. Juste avant que la dĂ©cision soit prise que je parte au bloc opĂ©ratoire un interne vient voir ma mĂšre et mon pĂšre et demande comment s'est passĂ© mon sĂ©jour chez mes cousins et s'ils sont sĂ»rs que je n'ai pas pris de substances. L'interne dit je suis obligĂ© de vous poser cette question, le neurochirurgien dit qu'il n'a jamais vu votre fille dans un tel Ă©tat. Ma mĂšre rĂ©pond que je n'ai pas pris de substances... que tout s'est bien passĂ©. De plus on en voit des vertes et des pas mures. Je pars au bloc opĂ©ratoire l'opĂ©ration et les suites opĂ©ratoires se passent bien, je reste une dizaine de jours au total et rentre chez moi. MalgrĂ© le changement de valve rien ne change Ă certains symptĂŽmes : cĂ©phalĂ©es, nausĂ©es, vomissements, fatigue. Le neurochirurgien me revoit mi-juillet 2018 et me dit il y a un autre problĂšme : "ton cerveau est comprimĂ©", il faut que je te rĂ©opĂšre je vais tout organiser et t'opĂ©rer pour faire plus de place Ă ton cerveau "translation frontale". Les symptĂŽmes sont toujours prĂ©sents en dĂ©cembre 2018 il dĂ©cide de me rĂ©opĂ©rer, une petite malformation de Chiari a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e avec la descente des amygdales cĂ©rĂ©belleuses. Il m'opĂ©re le 26 dĂ©cembre 2018. Plusieurs mois aprĂšs les symptĂŽmes sont toujours prĂ©sents mais moins forts. En 2022, les symptĂŽmes sont de nouveaux trĂšs forts ils dĂ©tectent que la valve ventriculo-pĂ©ritonĂ©ale n'est pas assez performante, ne dispose pas d'assez de rĂ©glages pour Ă©viter soit l'hypotension intracrĂąnienne soit l'hypertension intracrĂąnienne. Les neurochirurgiens dĂ©cident alors de retirer le dispositif de valve (Ă unitĂ© gravitationnelle je l'ai gardĂ© 11 jours , j'Ă©tais chez moi, les infirmiĂšres m'avaient dit peut-ĂȘtre qu'en rentrant chez toi tu arrĂȘteras de vomir en jet). Ma mĂšre recontacte le neurochirurgien en lui indiquant que ça ne va pas : elle ne peut plus s'alimenter et boire, elle ne fait que vomir. Le neurochirurgien dit Ă ma mĂšre venez demain, mon pĂšre m'emmĂšne mes parents pensent au dĂ©part qu'un "simple rĂ©glage" sera effectuĂ©. Ma mĂšre dit de prĂ©voir un sac au cas oĂč et de le laisser dans la voiture. Je vois le neurochirurgien qui comprend que ça ne va pas : j'ai mal, je vomis et suis fatiguĂ©e. Il dĂ©cide de me faire passer une irm cĂ©rĂ©brale, il comprend tout de suite que quelque chose ne va pas, je suis en hypertension intracrĂąnienne, il dĂ©cide de m'hospitaliser Ă©tant donnĂ© que je ne fais que vomir, une place au bloc opĂ©ratoire est tout de suite mise en place pour l'heure qui suit. Mon pĂšre part rĂ©cupĂ©rer des affaires Ă rĂ©cupĂ©rer dans la voiture et d'autres Ă aller chercher Ă la maison (le strict minimum Ă©tait prĂ©sent mais il manquait une partie des mĂ©dicaments que je prenais. Quand il revient, je suis dĂ©jĂ partie au bloc opĂ©ratoire. Je reste de nouveau une dizaine de jours pour vĂ©rifier qu'il n' y ai pas de problĂšme. Ensuite s'en suit de nombreux aller-retour pour effectuer des rĂ©glages de valve, malheureusement des symptĂŽmes sont prĂ©sents mais plus supportables (les rĂ©glages de valve durent trĂšs peu de temps dans mon cas je les supportent maximum 3-4 mois avant que la situation redevienne comme avant soit de l'hypotension intracrĂąnienne" soit de "l'hypertension intracrĂąnienne" c'est toujours le cas aujourd'hui. J'ai Ă©galement un problĂšme ventriculaire le troisiĂšme ventricule cĂ©rĂ©bral ne communique pas avec le quatriĂšme. Pour le moment, pas de solution de trouvĂ©e. Je vais bien voir ce que dit le neurochirurgien mi-dĂ©cembre 2025 Ă la suite du passage de l'irm cĂ©rĂ©brale.
J'aurais apprĂ©ciĂ© que les infirmiĂšres me prennent plus au sĂ©rieux ainsi que certains professionnels de santĂ©. Pendant de nombreux mois voir 1 an et demi on m'a dit : "tu vois bien il n'y a rien, c'est psychologique, c'est dans ta tĂȘte. Ta place n'est pas en Service de neurochirurgie mais en psychiatrie. Jusqu'Ă ce que le neurochirurgien se rendent compte qu'il y a bien un problĂšme toujours d'actualitĂ©. Que certains mĂ©decins Ă©coutent davantage ce que disent les patients et les familles. J'ai du batailler avec deux spĂ©cialistes pour stopper un traitement mĂ©dicamenteux qui ne fonctionnait pas alors que je leur disais ne pas voir de bĂ©nĂ©fices, ma mĂšre l'a dit Ă©galement. Lors d'une consultation elle a demandĂ© Ă la neurologue que le traitement soit stoppĂ© ne voyant pas d'amĂ©lioration et l'apparition d'effets indĂ©sirables malgrĂ© que la dose soit augmentĂ©e. Ce que je souhaite Ă©galement, ce que certains professionnels arrĂȘtent de dire "c'est psychologique, c'est dans votre tĂȘte lorsqu'ils ne savent pas. Je prĂ©fĂšrerais qu'ils admettent ne pas savoir, ne pas savoir n'est pas une honte. Certainement, que pour eux ce n'est pas une situation confortable. D'autre part, je souhaiterais que certains professionnels arrĂȘtent de mettre en doute la parole de l'entourage et celle du patient. Je pense que le fait de mettre beaucoup de "c'est psychologique, c'est dans votre tĂȘte" cela peut ĂȘtre dangereux, les professionnels peuvent passer Ă cĂŽtĂ© de quelque chose de plus ou moins grave.
Je pense que l'on pourrait peut-ĂȘtre rĂ©duire l'errance mĂ©dicale si le patient et sa famille Ă©taient davantage Ă©coutĂ©. L'errance mĂ©dicale pourrait ĂȘtre certainement ĂȘtre rĂ©duite si les professionnels de santĂ© quand ils ne savent se tournent vers d'autres spĂ©cialistes pour Ă©changer sur le cas du patient, peut-ĂȘtre que le professionnel qui sera consultĂ© aura une autre idĂ©e. Par ailleurs, l'errance mĂ©dicale pourrait certainement ĂȘtre rĂ©duite s'il n' y avait pas autant de difficultĂ© Ă consulter un spĂ©cialiste "avec le parcours de soins partagĂ©" et plutĂŽt en accĂšs direct.
Heureusequandmeme
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Heureusequandmeme
DerniÚre activité le 15/10/2025 à 10:15
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Bonjour,
Mon commentaire sur la détection de ma sep sera presque anecdotique.
J'ai ressenti les premiers symptÎmes à l'ùge de 24 ans. Donc, en 1964! Dans un premier temps, mon médecin traitant a pensé à une grossesse. On a injecté alors une lapine de mon urine pour faire le test. Au bout de 3 semaines, le résultat est tombé. Non, je n'étais pas enceinte. Mon médecin a alors pensé que les symptÎmes provenaient d'un stress causé par un trop plein de travail (le burn-out de l'époque) et m'a prescrit un an de séances hebdomadaires chez un psychologue. Sans résultat, bien entendu. D'année en année, d'examen en examen, ce n'est qu'à l'ùge de 48 ans, que ma sep était enfin confirmée!
Je pense que les méthodes de recherche ont beaucoup évolué depuis cette époque, heureusement!
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schpountz
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schpountz
DerniÚre activité le 14/10/2025 à 20:04
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@Heureusequandmeme Cela fait 10 ans que nous allons de mĂ©decines en mĂ©decins et spĂ©cialistes divers. Pas d'examens, pas de questions, . Comme mon mari est allergique, ils en restent tous lĂ mais rien n'est rĂ©solu, il a des glaires Ă longueur de journĂ©e, fatiguĂ© Ă l'extrĂȘme , plus d'intĂ©rĂȘt pour rien il sombre., il tousse, a mal Ă la tĂȘte. On vient de voir le 9Ăšme ORL qui ne pose pas de question, ne parle pas , est brute de dĂ©coffrage (une femme) mais fait des examens, donne des traitements.. mais pas de rĂ©sultat pour l'instant... On subit, on attend, on espĂšre... avec de moins en moins de force...
Heureusequandmeme
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Heureusequandmeme
DerniÚre activité le 15/10/2025 à 10:15
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@schpountz
Je comprends votre énervement et compatis.
C'est difficile de croire qu'avec toutes les avancées médicales, on n'arrive pas à cerner le problÚme de votre époux!
schpountz
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schpountz
DerniÚre activité le 14/10/2025 à 20:04
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@Heureusequandmeme Aujourd'hui les mĂ©decins ne sont plus ceux d'antant. Ils font leurs heures comme un bureaucrate. J'ai connu les mĂ©decins qui vous gardent une heure, cherchent des solutions Ă tout prix, ne vous lĂąchent pas, prennent R.V avec les spĂ©cialistes dans les 8 jours, vous appellent chez vous, discutent de votre problĂšme avec des collĂšgues. C'Ă©tait avant... on avait confiance, on sortait de chez eux, mĂȘme dans les cas graves, avec le moral car ils savaient trouver les mots de rĂ©confort; des encouragements, de l'espoir. Aujourd'hui on ressort souvent avec le moral en berne, dans l'incertitude, dans une bataille Ă faire soi-mĂȘme, Ă continuer Ă s'informer, chercher des solutions qu'on soumet parfois au mĂ©decin...
Heureusequandmeme
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Heureusequandmeme
DerniÚre activité le 15/10/2025 à 10:15
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Ami
@schpountz
Je suis tout Ă fait d'accord. C'est fini le temps oĂč mon mĂ©decin traitant venait Ă domicile Ă minuit pour soigner une laryngite de ma fille d'un an (elle en a maintenant 54!).
Aujourd'hui, beaucoup de médecins traitants ne veulent plus travailler le mercredi (jour des enfants), ni se déplacer le soir, ce qui provoque un engorgement aux urgences. (J'ai passé 10 heures sur un brancard aux urgences il y a 15 jours, sans boire ni manger, dans l'attente de deux agrafes qui ont nécessité 10 minutes), sans compter de nombreux congés etc..
La derniĂšre fois que j'ai vu un neurologue pour ma sep. Il ne s'est mĂȘme pas levĂ© de son bureau et n'a fait aucun examen de contrĂŽle lors de la consultation. En plus, il faut s'y prendre 6 mois Ă l'avance pour prendre rendez-vous.
Ou va t'on?
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Candice.S
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Candice.S
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DerniÚre activité le 15/10/2025 à 10:48
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Bonjour Ă toutes et Ă tous đ,
Comment allez-vous aujourd'hui ?
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Certains patients attendent des mois, voire des annĂ©es avant dâobtenir un diagnostic prĂ©cis. Pendant ce temps, la douleur sâinstalle, la fatigue augmente et lâespoir sâeffrite. Pourtant, un diagnostic posĂ© change tout : il donne un nom, une lĂ©gitimitĂ©, un point de dĂ©part.
đŹ Parlons-en ensemble :
Votre expĂ©rience est prĂ©cieuse â elle peut aider Ă faire Ă©voluer les mentalitĂ©s et les pratiques đȘ
Belle journée,
Candice de lâĂ©quipe Carenity đż