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Certains somnifères augmentent le risque d'Alzheimer
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Utilisateur désinscrit
Soit de nombreux médicaments provoquent des crises cardiaques....maintenant c'est Alzheimer.....quand d'autres perforent l'estomac.
Quel est le but des médicaments ? nous soigner..............pardon, nous rendre plus malade ou le cimetière direct.
Si toutes les familles des morts ou celles des 800 000 Alzheimer/an portaient plainte....
rickurz
Bon conseiller
Bonjour
il n'y a pas de médicament anondins...
kikoulo
Bon conseiller
il y 60 ans j'ai vu des anciens pres de la cheminé sur une chaise
ils avaient 70 ans a l'époque c'etait vieux
et on disait il n'a plus sa tete et pourtant je ne pense pas qu'ils ont pris des benzo!!
et si on voulait tous vivre vieux et en bonne santé??????
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YLES56
scoobidoo
Bon conseiller
Est ce que le but de ces déclarations n'est pas de faire faire des économies à la sécu ?
Pour limiter l'utilisation des somnifères de la famille des benzodiazépines qui n'ont qu'un « effet faible » sur le sommeil, la Haute Autorité de santé (HAS) a pour sa part préconisé en juillet de réduire leur remboursement par la sécurité sociale, de 65 % actuellement à 15 % à l'avenir.
Il y a aussi les intérêts des labos qui sortent de nouveaux médicaments.
Les campagnes de "sensibilisations" sont à buts multiples.
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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scoobidoo
Bon conseiller
L'utilisation à long terme de certains somnifères ou médicaments contre l'anxiété de la famille des benzodiazépines (des molécules avec des propriétés anxiolytiques, hypnotiques, myorelaxantes et anticonvulsivantes qui agissent sur le système nerveux central) pourrait augmenter sensiblement le risque de développer la maladie d'Alzheimer, selon une étude franco-canadienne publiée mercredi 10 septembre sur le site du British medical journal.
Pendant six ans, les chercheurs ont étudié 1.796 cas d'Alzheimer répertoriés dans un programme d'assurance médicale canadien et les ont comparés à plus de 7.000 personnes en bonne santé, de même âge et de même sexe. L'étude montre que la prise de benzodiazépines durant plus de trois mois était associée à un risque accru d'Alzheimer pouvant atteindre 51 %.
L'association était notamment liée à la durée d'exposition et était plus importante en cas d'utilisation de benzodiazépines ayant une longue durée d'action.
Les auteurs de l'étude, parmi lesquels des chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de l'université de Montréal, soulignent que leurs résultats «renforcent la suspicion d'un lien direct possible» entre prise de benzodiazépines et la maladie d'Alzheimer, même si ce lien doit encore être confirmé. Les benzodiazépines, notent-ils, constituent «incontestablement des outils précieux pour traiter des troubles de l'anxiété et des insomnies temporaires». Mais ils ajoutent que les traitements devraient être de courte durée et «ne pas dépasser trois mois».
NOMBREUSES MISES EN GARDE
Les résultats de l'étude vont dans le sens des mises en garde lancées par les autorités sanitaires de plusieurs pays contre l'utilisation des benzodiazépines, notamment chez les personnes âgées, en raison d'effets secondaires d'ordre cognitif. C'est le cas de la France, où l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) critiquait en janvier dernier des durées de traitement encore souvent trop longues —des patients prenant ces médicaments en continu pendant plusieurs années —, malgré les risques neuro-psychiatriques, de chute ou de dépendance encourus.
Selon l'ANSM, 11,5 millions de Français ont consommé au moins une fois une benzodiazépine en 2012, dont 7 millions contre l'anxiété et 4,2 millions contre des troubles du sommeil. Les consommateurs avaient en moyenne 56 ans et étaient pour près des deux tiers des femmes. Un tiers des femmes de plus de 65 ans prenaient une benzodiazépine contre l'anxiété et près d'une sur cinq pour dormir.
Pour limiter l'utilisation des somnifères de la famille des benzodiazépines qui n'ont qu'un « effet faible » sur le sommeil, la Haute Autorité de santé (HAS) a pour sa part préconisé en juillet de réduire leur remboursement par la sécurité sociale, de 65 % actuellement à 15 % à l'avenir.
source: Le Monde 10/09/2014 article du monde